Joanne prénom Wheeler

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❝ présentation ❞
Libre Réservé Prise

NOM ▷ Wheeler ÂGE ▷ 26ans SURNOM ▷ Jo' DATE ET LIEU DE NAISSANCE ▷ Date au choix ; Washington STATUT CIVIL ▷ Au choix. GROUPE ▷ Law Enforcement / Citizens MÉTIER/RANG ▷ Juge TRAITS DE CARACTÈRE ▷ Brillante ; Renfermée ; Orgueilleuse ; Manipulatrice ; Attentionnée ; Bornée ; Ambitieuse ; Cultivée ; Sarcastique ; Brave ; Franche ; Impulsive ; Dynamique ; Charismatique ; Secrète ; Méprisante ; Curieuse ; Drôle ; Solitaire ; Sensuelle ; Calculatrice ; Imprévisible.

❝ id card ❞

✎ Né à Washington dans une famille moyenne, originaire d'une famille nombreuse, ses parents n'ont jamais eu réellement le temps de porter attention à elle étant donné sa scolarité brillante et son attitude irréprochable. A vous de voir si elle était proche d'eux ou non.
✎ Elle a donc fait par la suite ses études à dans un prestigieux lycée ou elle l'a rencontré Rhett, ayant obtenu une bourse à défaut de réellement pouvoir payer les frais de l'école.
✎ D'une nature plutôt solitaire, calme, réfléchie et à même de sensations fortes, elle a pourtant naturellement pris contact avec Rhett qui était à l'époque très populaire, et ils se sont rapidement liés d'amitié, étant la seule amie du jeune homme puisqu'ils considéraient la plupart des personnes qu'ils fréquentaient comme de simples "connaissances utiles".
✎ Elle a donc obtenu son diplôme à la fin de l'année et s'est tournée vers la juridiction, en devenant juge.
✎ Elle est tombée enceinte à 19ans d'un mec avec lequel elle était en couple (ou non) et que Rhett méprisait par la même occasion, et a décidé de garder l'enfant pour ensuite le donner à des parents cherchant adopter, ne pouvant supporter l'idée de supprimer un être quand bien même pas encore mis au monde (a relié avec le fait qu'elle vient d'une famille nombreuse.) Et c'est donc Rhett qui l'a soutenu en dépit de sa rage pendant ses 9 mois.
✎ Elle s'est occupée du cas de Rhett lors de son procès, leur relation ayant toujours été très secrète, elle fut engagé par pure coïncidence, mais ne pipa pas un mot sur le fait qu'elle connaisse Rhett, elle faisait partie des juges à même de décider de son sort. A vous de voir si elle a pensé Rhett coupable du meurtre de son frère, j'avais pensé à ce que non, mais à ce que l'amertume/orgueil du a leur dernière entrevue (voir lien) la pousse a ne pas tenter de prendre sa défense et s'opposer à la décision des juges en subtilité bien entendu, pour se venger en quelque sortes, cependant, condamné à perpétuité, rapidement, elle regrettera son geste, se disant qu'au tribunal, c'était probablement la dernière fois qu'elle le verrait.
✎ Sauf que Rhett a finalement intégré la Division, cachant donc l'existence de Joanne à Percy, prétendant n'avoir aucun amis proches et plus de familles a présent (parents décédés lorsqu'ils étaient jeunes, oncle décédé en Irak, a coupé les ponts avec sa tante, frère jumeau décédé), il est suffisamment discret pour ne pas qu'elle le remarque et en profite même pour l'espionner et la protéger des malfrats qui peuvent la faire chanter étant donné son métier ô combien épineux.

❝ informations complémentaires ❞

Bonsoir/Bonjour, merci d'avoir porté de l'attention a ce scénario beaucoup trop long je l'admets mais que j'ai essayé de rendre attirant et précis pour que vous avez de la matière
Concernant le pseudo, il l'est totalement, tant qu'il me plaît un minimum, je ne suis pas difficile.
Pour l'avatar, je tiens à Deborah, mais si vraiment pour X raisons vous ne l'aimez pas, je peux aussi vous proposer Eva Mendes, Sienna Miller, Gemma Arteton, Evan Rachel Wood, Mélanie Laurent éventuellement.
Après, je ne demande pas grand chose, activité régulière sans être nécessairement un malade du Rp / CB & flood, assez bon niveau tant qu'à faire, mais je privilégie la qualité à la quantité, et préfère donc une vingtaine de lignes concises et intenses à des pavés imbuvables.
Pour le reste, n'hésitez pas à me bombarder de Mp's si vous avez une questions et prenezzz ma Joanne, je vous promets des Rp's funkys et tordus à souhait

featuring deborah ann woll
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Joanne, je l'ai rencontré à une période bien étrange de ma vie. Je l'ai rencontré durant cette période ou j'étais populaire, ou je traînais avec tout le monde sans pour autant que cela soient mes potes, j'étais populaire et apprécié, mais je n'avais pas d'amis, j'avais des connaissances utiles. Je me rappelle qu'un jour on a du faire un exposé ensembles, et qu'elle n'était pas comme toutes ces filles sottes qui tentent de faire la conversation et s'extasient du fait de se trouver en duo avec moi. Elle était peu loquace, concentré sur le travail, brillante et cordial, et ça, ca m'a tout de suite plu. Je l'ai donc invité à aller voir un film avec moi une fois notre exposé fini, et on a ensuite passés la soirée dans les rues à ne rien faire, aller dans des bars boire, flâner dans les rues et sur les vitrines des magasins, faire chier quelques passants, aspirer à des jours meilleurs, rêver et s'apprécier et s'aimer, s'aimer dans nos longs silences et nos longs regards, dans nos jeux enfantins. On est donc restés très bons amis, moi même ayant du mal à dire que Joanne n'avait aucun intérêt économique ou social pour moi, et qu'elle était donc une amie véritable, la seule. C'est la seule à laquelle je confiais parfois mes histoires familiales, ce que j'allais devenir avec l'héritage de mon père, mes désirs et mes craintes. Je crois qu'elle n'a jamais su combien je tenais à elle. Non elle n'a pas du le savoir lorsqu'elle est tombée soudainement enceinte de cet abruti qu'elle fréquentait en secret et que je méprisais tant. Si au départ je lui en ai voulu, rapidement je revint la soutenir puisqu'elle souhaitait garder l'enfant. Pendant 9 mois, j'ai donc été son pilier, son ami, son meilleur ami probablement, son soutien. A 20ans, lorsqu'elle accouchait de cet enfant qu'elle donna ensuite à l'adoption, je dus partir pour mon service militaire. C'est évidemment à ce moment là qu'elle décidait de poser ses sentiments sur le tapis, persuadé que j'éprouvais la même chose pour elle. C'était le cas. Mais je ne dis rien et partit quand même. Je ne pouvais admettre cet attachement profond que j'éprouvais pour la jeune femme, je savais comment elle était, toujours à vouloir dominer l'autre, je la voyais manipuler et rire de tous les petits jeux qu'elle jouait avec d'autres hommes, et elle pensait sérieusement pouvoir me faire la même chose ? Nous gardâmes vaguement contact mais elle me manquait, je le savais et ça m'énervait. Lorsque je revins à Washington après deux ans passés en Irak et que je n'avais plus rien depuis que ma tante m'avait jeté de chez moi, je l'ai revu à une sorte de convention "d'amis communs" elle était avec un mec il me semble que j'ai rapidement évincé de par ma présence. Elle ne m'en a pas voulu d'être parti, elle semblait avoir mis ça de côté et être passé à autre chose, de toute façon elle n'était pas du genre à s'apitoyer sur son sort mais ça m'a quand même énervé. J'aurais aimé qu'elle soit folle de rage, qu'elle me méprise en ce moment même, alors je n'ai pas arrêté de flirter avec elle durant toute la soirée, et après de nombreux verres une dispute à éclaté. Elle m'a dit que j'étais injuste. Je lui ai dit que je l'aimais. On a couchés ensembles, une nuit... somptueuse, et le lendemain je suis reparti avant son réveil sans un mot. J'ai beau dire que je l'aimais, je crois que c'était à l'époque, ou je ne sais pas à vrai dire, les choses n'étaient pas assez claires pour moi, ca me rendait fou donc j'ai préféré partir. Quelques semaines plus tard, je me faisais inculper pour le meurtre de mon frère que je n'avais même pas commis, et je n'ai plus eu de nouvelles d'elle. J'aurais espéré qu'elle ne soit pas aussi sot que la basse populace et qu'elle ne me pense pas coupable de ce faux crime, sachant tout ce que je lui avais raconté sur mon frère et moi combien je tenais à lui. Cependant, lors du procès, quand son regard s'est ancré dans le mien et que le juge principal m'a jugé coupable, j'ai compris qu'elle l'avait cru elle aussi. J'étais déçu, mais je ne lui en ai pas voulu, du moins pas directement. Depuis que je suis dans la Division, j'ai bien entendu nier l'existence d'un proche quelques qu'il soit, et donc caché l'existence de ma seule amie et qui aurait pu être tout et rien à la fois, mais qui ne sera jamais rien d'autre qu'un vague souvenir à présent, une vague ombre que j'épie parfois durant mon temps libre et que j'ai parfois sorti de situations difficiles. Comme Spiderman, ouais pourquoi pas.