Divide or Conquer
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Baby, it's time to shoot [Shake&Evers]

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MessageSujet: Baby, it's time to shoot [Shake&Evers]   Baby, it's time to shoot [Shake&Evers] EmptyJeu 26 Avr - 19:40


Baby, it's time to shoot [Shake&Evers] Osc37t



« Je peux prendre mes Louboutin tu crois ? »
« Evers, c’est une mission, pas un fashion show. »
« … Y’ a de la neige là-bas en ce moment ou pas ? »
« Evers, tu prends le strict minimum, et tu y vas, c’est tout. »
« Cela ne répond pas à ma question. »
« Non, y’a pas de neige.. »
« Cool ! »

Et sans attendre de réponse, la brune raccrocha, balançant son iPhone sur son lit défait. Evers avait une heure pour se préparer et prendre le prochain vol pour Moscou. Une nouvelle mission de nettoyage l’attendait là-bas. Elle ne savait même pas encore qu’est-ce qu’elle allait nettoyer et où cela se passait exactement, elle savait juste qu’elle pouvait prendre ses Louboutin et qu’elle devait se dépêcher. Et c’est ainsi qu’en moins d’une heure, elle prit une douche, elle s’habilla, elle remplit rapidement sa petite valise, descendit de chez elle, prit un taxi, et s’en alla en direction de l’aéroport. Elle prit le premier vol pour Moscou, s’ennuya à mourir dans l’avion, réussissant à somnoler un peu, atterrit, et se rendit dans l’hôtel où on lui avait déjà réservé une chambre.
Et puis elle attendit sagement sur le lit, lisant un magazine.
Son iPhone vibra. Elle le prit en main et lut son nouveau message.

La mission vient d’être terminé. Tu peux y aller.
Elle attrapa sa valise où elle transportait son matériel, prit son arme - on ne sait jamais -, mit sa veste en cuir, et sortit de la chambre, prenant un taxi pour aller sur le lieu de sa mission. C’était dans un quartier réputé pour appartenir à la mafia russe. Des gens adorables qu’Evers ne manquerait pas de saluer si elle venait à les rencontrer. Ou pas.
Le taxi s’arrêta, Evers paya et sortit sans un mot, un très fin sourire aux lèvres. Elle avait bel et bien mis ses bottines Louboutin. Travailler en talons haut ne l’avait jamais dérangé, loin de là. C’était quelque chose dont elle avait besoin. Mais il fallait avouer que c’était bien la première fois qu’elle mettait des chaussures aussi cher pour venir bosser.
Entrant dans l’immeuble qui lui faisait face, elle jeta un rapide coup d’œil derrière elle avant de prendre l’ascenseur et de monter au 3ème. Apparemment, la mission avait été de tuer un membre de la mafia, du style méchant pas beau. Et Evers avait juste à nettoyer les lieux. Rien d’extraordinaire donc. Mais elle irait faire un tour dans Moscou avant de retourner à Washington, histoire de ne pas avoir fais un voyage aussi long pour rien. Juste un peu de shopping. Un tout petit peu..

« Oh, toi. »

La porte de l’ascenseur s’était ouverte, Evers était arrivée au bon étage, et elle avait en face d’elle l’agent qui avait été en charge de la mission du jour. Shakespeare Blackrain. Un imbécile aux cheveux mi-frisés mi-mal coiffés. Et il était juste là, face à elle, un air de benêt collé au visage. Elle le dévisagea d'un mauvais œil.

« Qu’est-ce que tu fous encore là ? J’ai eu le temps de prendre une douche, de boire mon café, de lire le journal et de venir à pied jusqu’ici depuis que ta mission est dite terminée. »

Elle exagérait à peine. De toute façon, elle ne l’aimait pas. Il était ridicule.

« T’avais encore oublié ta montre, c’est ça ? »

Petite référence à leur première rencontre qui datait maintenant déjà un peu. Monsieur débutait en tant qu’agent et Evers, déjà nettoyeuse depuis quelques années, avait été envoyé sur une mission, où elle avait retrouvé une montre exposé bien en évidence, pleine de belles empreintes du jeune agent de la Division. L’agent en question s’était dépêché de revenir sur ses pas pour récupérer son erreur, mais Evers l’avait déjà trouvé. Un moment épique dont la belle brune se délectait à chaque fois qu’elle était face à cet imbécile.
Un fin sourire moqueur aux lèvres, Evers sortit de l’ascenseur et bouscula légèrement le jeune brun pour passer. Depuis plusieurs années déjà, Shake’ était reconnus comme un bon agent. Difficile de ne pas le savoir, son nom était connus au sein de la Division. Mais qu‘est-ce qu’elle en avait à foutre qu’il fasse bien son job ? Il avait été assez maladroit pour oublier un détail compromettant durant l’une de ses premières missions. Et aux yeux de la nettoyeuse, chaque détail comptait, il ne fallait rien oublier, jamais. Il s’était peut-être rattrapé depuis, mais ce n’était que des rumeurs, des on dit. Que du blabla.

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MessageSujet: Re: Baby, it's time to shoot [Shake&Evers]   Baby, it's time to shoot [Shake&Evers] EmptyJeu 26 Avr - 21:14

Baby, it's time to shoot [Shake&Evers] Tumblr_m2gsg3dMZh1ql4583o1_500

hit me with your best shot

« Tiens, ton billet d’avion pour Moscou et ta réservation pour l’hôtel. Voici ta cible, un des dirigeants de la maffia russe. Pas de quartier, au gun. Un nettoyeur passera après toi » Je hochais la tête, acquiesçant, et rangeais l’enveloppe qu’il me tendait dans la poche intérieure de ma veste. Je n’affectionnais pas réellement les missions tuerie, mais c’était mon job, alors je ne discutais pas. Je ne posais même pas de question. La division m’avait sauvé la vie après tout, je leurs devais bien cela. Et puis, si je ne m’exécutais pas, c’était moi qu’on éliminait. Honnêtement, j’ai fait mon choix, et il ne me dérange pas. Je ne prenais aucune arme pour l’avion, on allait m’en procurer discrètement de l’autre côté de la frontière. D’un pas vif, je retournais à ma voiture et retournais chez moi, en ville, où je préparais rapidement un sac. Ce n’est pas comme si on me donnait une journée pour me préparer… C’est ce qui m’avait perturbé en devenant agent. Quand on est une recrue, on est chouchouté, bercé, en quelque sorte, à la façon de la Division. Puis vient le jour où on est activé et où il faut un peu plus se débrouiller seul. Quatre ans que je fais ce métier, j’ai maintenant l’habitude, mais je sais que pour certains c’est difficile. Peu réussissent à bien s’adapter, et beaucoup de jeunes agents ne vivent pas longtemps : soit parce qu’ils meurent durant une mission, soit parce qu’ils sont annulés. J’avais la chance d’être bon et du coup encore en vie. Espérons que cela continue sur cette voie. Une fois mon sac fait, sans attendre une minute de plus, j’allais à l’aéroport.

« L’équipe vous souhaite un agréable séjour, à très bientôt » Je quittais l’appareil d’un air enthousiaste, comme toujours. À la douane, on me demanda si je venais pour le travail ou pour le plaisir. Pour le plaisir, évidemment. Quelle question… Je passais sans problème et rejoignais ma chambre d’hôtel comme un simple touriste. La femme de ménage, une alliée, avait déposé mon arme dans le coffre dont j’avais le code. 6…3…5…1… La portière s’ouvrit, et je ne perdis pas une minute. J’avais exactement une heure pour retrouver ma cible et l’éliminer, après cela, j’allais devoir trouver un plan de dernière minute en fonction de ses itinéraires. Honnêtement, je n’avais pas très envie. Je me postais dans l’ombre du couloir de service et attendais qu’un certain groom, chargé de la chambre de ma cible, passe. Quand il entra dans mon champs de vision, j’utilisais un drap pour le faire taire puis l’étouffer. En manque d’air, il tomba au sol et je prenais ses vêtements ainsi que son chariot. Merci l’ami. Il me restait plus d’une demi-heure. J’étais carrément dans les temps. Je m’approchais de la porte de la chambre le plus naturellement que possible : il y avait deux gardes. Facile. D’un russe parfait, je demandais à entrer dans la chambre pour les valises et la bouteille de champagne commandée. Ils se jetèrent un regard pour décider. Erreur fatale. J’écartais les bras, plantant des seringues dans leurs cous pour qu’ils s’évanouissent illico. Quelques minutes pour les cacher, et j’entrais. L’homme ne fit pas attention à moi, excellent. Je fis semblant de préparer le champagne, dans u sceau, avec des glaçons… Et en allant au chariot, j’attrapais mon arme et me retournais vivement, tirant dans la tête de ma cible sans aucune hésitation. Le sang commença à se répandre sur la moquette, et moi, le perfectionniste, eut une petite moue de dégoût. Tant pis, c’était le travail du nettoyeur de faire effacer tout ça.

Devant le cadavre, j’enfilais mes propres vêtements, comme j’étais arrivé dans l’hôtel. Après tout, les seuls à m’avoir vu en groom étaient les gardes. Et ils étaient morts. J’allais à l’ascenseur après avoir déplacé les corps des gardes dans la chambre, histoire de faciliter le travail de mon collègue : tous les macchabés au même endroit. Mais j’eus une petite surprise au niveau de l’ascenseur. « Oh, toi » Je levais les yeux au ciel : pourquoi cette nettoyeuse ? « Qu’est-ce que tu fous encore là ? J’ai eu le temps de prendre une douche, de boire mon café, de lire le journal et de venir à pied jusqu’ici depuis que ta mission est dite terminée. T’avais encore oublié ta montre, c’est ça ? » Je lui tirais la langue. « De un, ma mission est terminée depuis dix minutes. De deux, je déteste porter les vêtements des autres… J’ai mon style à moi, beaucoup plus original, donc j’ai pris la peine de me changer, comme toujours » Je préférais ignorer sa référence, par rapport à la montre. Ma seule grande erreur, et je l’avais corrigée, qui plus est. Alors inutile d’en parler. « Si j’avais su que c’était toi, je me serais chargé du nettoyage tout seul… Laisse moi t’ouvrir la porte » J’avais opté pour un ton ironique, bien entendu, c’était juste pour l’agacer. Mais la suite de l’histoire ne se déroula pas vraiment comme prévu. Nous étions à l’étranger, donc nous avions très peu de contact avec la Division à Washington : impossible de demander des renforts, par exemple. « Eh vous ! Que faites-vous dans cette chambre ?! Qui êtes-vous ?! », Hurla un homme en russe. Oops. Vu que nous étions à l’intérieur, je fermais la porte le temps que nous nous réfugions derrière les canapés de la suite. « Fait chier ! Fallait qu’ils se pointent pour faire une surprise, comme s’ils n’avaient pas pu attendre ! » On tira sur la serrure… Et les russes découvrirent le corps d’un des dirigeant de la maffia, au sol, baignant dans son propre sang.


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MessageSujet: Re: Baby, it's time to shoot [Shake&Evers]   Baby, it's time to shoot [Shake&Evers] EmptyVen 27 Avr - 0:38



Qu’on l’envoie en mission en Russie, à Moscou, pour y rester seulement quelques heures afin de nettoyer une simple scène de crime, passe encore. Mais qu’on lui demande de passer derrière Shakespeare, c’était une blague. Enfin, ce mec était une blague. D’ailleurs, du haut de ses 24ans, il ne manqua pas de lui tirer la langue, tel l’enfant qu’il était.

« De un, ma mission est terminée depuis dix minutes. De deux, je déteste porter les vêtements des autres… J’ai mon style à moi, beaucoup plus original, donc j’ai pris la peine de me changer, comme toujours »

Et blablabla, que je raconte ma vie de mec maniaque qui ne supporte pas de porter les vêtements des autres. Oulala mon dieu, ce jean n’est pas à moi ! Erf, vite, il fallait qu’elle s’éloigne de lui.

« Si j’avais su que c’était toi, je me serais chargé du nettoyage tout seul… Laisse moi t’ouvrir la porte »

Son ironie faillit échapper un sourire à la belle brune, qui se contenta de passer devant lui et d’entrer dans la chambre. Elle observa rapidement la scène de crime. Trois corps, dont la cible principale qui baignait dans une marre de sang. Elle voulut le critiquer, mais une voix rauque la devança. Du russe.

« Eh vous ! Que faites-vous dans cette chambre ?! Qui êtes-vous ?! »

What the fuck ! Qu'est-ce qu'ils foutaient là eux ?! Sans attendre, Evers alla se faufiler derrière un canapé, tandis que son cher ami fermait la porte et la suivait. C'était l'heure du cache-cache avec la mafia. Youpi!

« Fait chier ! Fallait qu’ils se pointent pour faire une surprise, comme s’ils n’avaient pas pu attendre ! »

Ils eurent le temps d’échanger un regard et la serrure de la porte sauta dans un bang sonore. Dans ce quartier, pas besoin de silencieux apparemment. Ils devaient être tous habitués aux règlements de compte et meurtres en tout genre. Sans parler des fusillades. Inutile de compter sur la police du coin. Evers prit son arme dans ses mains, débloquant le cran de sécurité, alors que les russes s’exclamaient devant la scène de crime.

« C’est vrai que, quand même, t’aurais pus faire plus propre. »

Et un commentaire sur le travail de Monsieur, un. Elle lui lança un regard mi-amusé mi-provocateur, avant de se relever un peu et de tirer sur les deux russes qui étaient déjà dans la pièce. Elle les tua d‘une balle chacun.

« Vive la Russie ! »

C’était à peu près les seuls mots en russe qu’elle connaissait. Quoi que non. C’était plutôt les seuls mots poli qu’elle connaissait en russe. Sinon elle pouvait insulter n'importe qui en un russe presque parfait. Très pro tout ça, n'est-ce pas ?

« Ils sont là ! »
« Merde, mais ils sortent d’où ces connards! »

La jeune femme se remit derrière son canapé, lançant un regard à son collègue improvisé. Avait-il une idée de comment ces enfoirés de russes avaient été prévenus de leur présence ici ? ..Il n’y avait plus qu’à espérer qu’il soit aussi bon que les rumeurs le disaient. Sinon elle devrait tous les tuer toute seule. Des coups de feu ne tardèrent pas à se faire entendre, dégommant à peu près tout ce qu’il se trouvait dans la chambre. Dans le genre discret et précis, on faisait mieux.

« Dis-moi, par hasard, juste comme ça, tu comptes bouger ou tu vas juste attendre que je fasse tout le boulot pour toi ?! »

Shake était certainement comme elle, surpris de l’arrivée de ces gros bras. Mais Evers avait déjà eu affaire à ce genre de surprise, c’est pourquoi elle se baladait toujours avec son flingue et son poignard sur elle. C’est pourquoi elle semblait gérer la situation, alors qu’en réalité, elle savait qu’avec un seul chargeur et des gros bras comme ça, cela serait sans doute un peu juste. D’où l’utilité de Shake. De temps à autres, elle tirait dans le tas, visant assez bien, blessant ou tuant ses cibles, et ne gaspillant pas ses balles.

« J’en suis à cinq tués, dont deux à qui j’ai explosé la tête, et trois touchés ! J’adore ce jeu ! »

Bah quoi ? Il fallait bien s’occuper un peu et rendre ça intéressant ! C'était quand même beaucoup plus vivant que ce qu’elle avait prévus. Et donc autant le rendre fun ! Si toute fois on oubliait le fait qu’ils n’étaient que deux et qu’ils se trouvaient dans un quartier de la mafia russe, avec des gros bras de cette même-mafia au cul, et sans réel contact avec la Division. Elle espérait au moins pouvoir quand même aller faire son shopping après. Oh, et surtout, ne pas abimer ses Louboutins ! Trop chères pour être endommagées.
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MessageSujet: Re: Baby, it's time to shoot [Shake&Evers]   Baby, it's time to shoot [Shake&Evers] Empty

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